( expo corps ) photo, vidéo et dessin

les 1er et 2 juin, j’expose mon travail artistique autour du corps et de notre relation au monde
en photo, performance-vidéo et dessin

dans le cadre des POAA de la @ville_romainville

au plaisir de vous retrouver !

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🚀 projets présentés :

VIDEO-PERFORMANCES ET SERIES PHOTOGRAPHIQUES

CORPS MINUTE 

Projet en collaboration avec Sophie Colombié

2020-2023 / séries photographiques //
/ LINGERIE / PARKING / 20/20 / FICTION / BETON /  OMBRES

Un lieu, un cadre, un retardateur. 10 secondes pour prendre place dans l’espace sans se concerter, donner corps au lieu, l’habiter, s’y fondre, le révéler.Dispositif performatif et photographique « Corps minute » investit, révèle et interagit avec des lieux singuliers ou anodins, en captant leurs caractéristiques formelles, lumineuses, d’usage et leur potentiel esthétique et poétique. Un duo de corps s’empare de l’espace pour le mettre en scène instantanément. Ce déplacement du regard projette un nouvel imaginaire sur la relation du corps à l’espace, du corps à la matière, du corps au corps.

BIG CELLULE

Projet en collaboration avec Sophie Colombié

vidéo performance – série / 10 mn / 2022

Big Cellule émerge et disparaît. Effleure et raconte des mouvements internes, les mouvements de notre terre. Nos émois, nos dedans dehors, nos équilibres, nos sèves et notre poussière. Nous sommes cellules, la terre est nous, nous sommes terre. Une seule et même bien grosse cellule. Parce que Big Cellule c’est mieux que Big Brother.

MEMBRANE FANTÔME

vidéo performance – série / 10 mn / 2022

Sculpture vivante et mouvante, matrice ou spectre, « Membrane fantôme » est un poème visuel qui s’expanse, s’évanouit, se distord. Entre naissance et mort, souvenir, devenir, chair et disparition, cette performance émerge du lieu où elle évolue. Cette  performance qui prend la forme d’une sculpture vivante et mouvante de positions fœtales en expansions, d’équilibres en déformations. Ces métamorphoses laisse deviner des membres, un corps. Ou, au contraire, dissimule totalement le corps pour ne rendre lisible que l’apparence extérieur, abstraite et organique, en mouvement perpétuel. Ce jeu entre permanence (constance du tissu, du lieu, nature du mouvement) et impermanence (transformation, visibilité du corps) laisse naître fantômes et matrices.

SERIES DESSINEES

SI CRUES FICTIONS  

Projet en collaboration avec l’auteur Claude Enuset

2023 / série de 64 dessins / un livre éponyme est paru aux Éditions Les Venterniers  //  « Si crues fictions » est un songe éveillé. Dans cette série de 64 textes et dessins, femmes hommes foules et solitudes livrent leurs doutes, envies, affirmations absurdes noires et lumineuses.

STRIP DRAWING  

2022 / série de 7 dessins se déshabillant en 5 ou 6 sous-dessins //  Nos corps sont mus par le désir. Nos désirs sont nus sous nos rêves. Nos mues ont le goût de bonbons de cabanes en chiffons. De royaumes de cubes de poupées de carton. Habillés de formes acidulées, les « Strip drawing » se déshabillent. L’habit-forme-objet est un écho ludique, énigmatique et érotique du corps. Carapace, cabane et cachette.

JOUR X  

2020 / série de 34 dessins / série ouverte  //  Les jours défilent se ressemblent ou se surprennent. Le quotidien nous habite, nous habitons des immeubles, les immeubles sont peuplés de yaourts. Les yaourts rêvent de squares.

MON OURS  

2021 / série de 7 dessins / dans le cadre d’une résidence au Bel ordinaire, Pau  // Deux corps enlacés, mi anges mi adultes. Ce duo répété se mêlant à la représentation allégorique d’un espace ou d’une situation propose une lecture différente des corps et de l’environnement évoqué à chaque dessin. Corps vulnérables en prise avec le réel, imperturbables et tendres.

UVNITR DVASIA* 

Création pour le danseur et chorégraphe
Thomas Brena (*intérieur de l’esprit)

2022 / série de 7 dessins / 2022 // « Que vois-tu ? Un artiste ? Un technicien ? Un artisan du mouvement ? Un fou ? Un prétentieux ? Un dégénéré ? Un génie ? Un alien ? Un hypocrite ? Une pépite ? » Thomas Brena

L’AMOUR A BOIRE  

2018 / série de 27 dessins / un livre éponyme est paru aux Éditions Les Venterniers  // Une expression de la constance et du changement tissée du pouvoir des petits symboles de l’ordinaire. Ici, nous ne sommes assurés de rien et certains du fait qu’» un petit pois roule par terre ».